Reconnaître les 11 nations

Carte des Premières Nations, Métis(*) et Inuit au Québec du Réseau Jeunesse des Premières Nations: http://reseaujeunessepn.com

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Source : RIQEDI
"Les membres du Réseau interuniversitaire québécois pour l’équité, la diversité et l’inclusion (RIQEDI) sur certains dossiers autochtones que le groupe de travail sur les réalités autochtones a été fondé en septembre 2019. Depuis sa création, il travaille à structurer ses actions au regard des appels à l’action formulés dans les rapports d’enquête publiés dans les dernières années. Cet outil est principalement destiné aux membres de la communauté universitaire québécoise qui, dans le cadre de leurs activités d’enseignement et de recherche, tiennent à présenter un énoncé de reconnaissance territoriale, mais peut aussi certainement être utilisé dans d’autres contextes."

https://rqedi.com/wp-content/uploads/2021/06/VF-Reconnaissance-territoriale.pdf


L’Association canadienne des professeures et professeurs d'université (ACPPU) a lancé en mai 2016 un Guide de reconnaissance du territoire traditionnel afin d’offrir un outil de reconnaissance du territoire propre à chaque localité.

http://www.caut.ca/fr/nouvelles/2016/05/27/lancement-du-guide-de-reconnaissance-du-territoire-traditionnel

« La reconnaissance du territoire est une marque d’hommage et de respect envers les peuples autochtones. Le présent guide dresse la liste des établissements où travaillent des membres de l’ACPPU et énonce la formule de reconnaissance du territoire propre à chaque localité. Il a été conçu pour encourager les représentants et les membres de toutes les associations de personnel académique à reconnaître les Premières Nations sur les territoires traditionnels où nous vivons et travaillons. Le rituel de reconnaissance devrait s’accomplir au début des cours, réunions ou conférences, lors de présentations faites dans l’établissement d’appartenance ou ailleurs. N’hésitez pas à faire part de vos remarques, suggestions et corrections à l’agente de l’équité de l’ACPPU, Rosa Barker (barker@caut.ca).»


À quel moment :

  • Ouverture de rencontre, de réunions, etc.

  • Début de la session (et/ou tout au long, à tour de rôle pour les personnes étudiant.e.s)

  • Dans votre famille, votre communauté, votre environnement de travail.


Par quels moyens:

  • Sites institutionnels (virtuels et présentiels)

  • En co-construction avec les membres des nations autochtones avec qui vous travaillez

  • Dans le gabarit des plans de cours de votre cégep (voir exemples ici)
    Énoncé de reconnaissance du territoire (Proposé dans les gabarits de plans de cours)

  • (En continuité avec les partenariats en cours avec les membres des communautés de Kitigan Zibi, Lac Barrière et Pikogan, cet énoncé sera traduit dans la langue algonquine.) En débutant, je souhaite reconnaître le territoire traditionnel non-cédé Anishinaabeg sur lequel nous vivons, travaillons et marchons ensemble aujourd’hui. Cette pratique de reconnaissance est un premier geste de réconciliation dans les relations respectueuses et équitables entre les peuples autochtones et allochtones. À la lumière des récents événements dénonçant le racisme dans les systèmes judiciaires et de santé au Québec, nous avons tous une responsabilité en vue de former et mettre en place une société plus équitable et respectueuse des gens et de l’environnement dans lequel nous vivons.

  • * (Vous pouvez ensuite ajouter un énoncé vous situant personnellement et situant le contexte de votre cours. Voir d’autres énoncés ci-dessous. Pour plus d’informations, rejoignez l’équipe)


  • Énoncé dans votre signature courriel :

Je reconnais ma présence sur le territoire traditionnel non-cédé Anishinaabeg, je salue la résilience des gardiens des savoirs et je situe mes intentions et mes actions dans une perspective d'équité.
Ni manàdjiyànànig Màmìwininì Anishinàbeg, ogog kà nàgadawàbandadjig iyo akì eko weshkad. Ako nongom ega wìkàd kì mìgiwewàdj.


(Cette liste n'est pas exhaustive, merci de partager vos exemples et processus ici !